Les 6 Anecdotes Happy At Work de
Bastien Laurenceau
- LE PROCESSUS DE RECRUTEMENT
Mon
premier critère de sélection était de choisir un manager qui allait
m’accompagner dans mon développement et ma montée en compétences. Je
voulais également progresser dans ma capacité à créer des relations
professionnelles, ainsi qu’à être à l’aise dans ma communication. Le
métier de Business Manager était alors une opportunité pour moi de
travailler ces différentes compétences. Après différents entretiens,
notamment avec la Direction Générale de l’entreprise, j’ai rejoint
l’équipe AAA afin de démarrer ma formation de Business Manager.
Au cours de la formation 4A, je n’avais pas encore d’entreprise identifiée avec laquelle je serai amené à travailler. Mon choix s’est fait naturellement, à la suite du module de Négociation Commerciale.
Je
me suis rendu compte que le formateur Benjamin Mellot possédait les
compétences que je voulais acquérir et sur lesquelles je voulais
m’améliorer. Le projet ARGAIN et son expertise m’ont alors conforté dans
ce choix final.

- LES PREMIERS PAS
Au départ, ma plus grande difficulté a été d’apprendre et de comprendre le métier de Business Manager.
En
effet, c’est un poste d’intrapreneur qui nécessite d’avoir une
connaissance complète dans différents domaines (RH, Business
Development, Management, etc.). La complexité est de bien intégrer son
offre, afin de pouvoir convaincre ses clients, et faire adhérer les
consultants au projet de l’entreprise.
Ce qui est essentiel, c’est de rapidement enclencher une dynamique positive, ce qui peut prendre du temps.
Le
marché du Conseil est composé d’une multitude de concurrents, se
battant sur les mêmes parts de marché et sur les mêmes secteurs. Pour
moi, ce qui va faire la différence entre ces entreprises, c’est
l’approche humaine du cabinet dans un premier temps, et dans un second
temps la capacité à mettre au cœur de l’entreprise l’évolution et la
montée en compétences de nos collaborateurs, en termes de savoir-faire
mais également de savoir-être. Il en est de même pour le client selon
moi …
- LE DECLIC
A force d’entretiens avec des consultants et de rencontres avec les clients, on s’aperçoit que notre discours est plus efficace, plus souple et mieux maîtrisé, et on se sent de plus en plus à l’aise.
A ce moment-là, il va nous manquer juste une pointe de chance pour que le tout fonctionne en harmonie.

- LA RELATION AVEC LES CONSULTANTS
Pour nous, l’objectif n’est pas uniquement d’évaluer le savoir-faire du consultant, mais également de savoir s’il y a une volonté mutuelle de travailler ensemble, le “ feeling ” est donc important.
Ensuite,
le consultant doit se sentir bien et intégré, c’est pourquoi nous
organisons régulièrement des événements afin de renforcer la cohésion
d’équipe entre des personnes qui ne se voient pas forcément au
quotidien. Les ateliers cuisines et autres événements, sportifs
notamment, font en sorte que les consultants se sentent bien et partie
intégrante de la dynamique de l’entreprise.
- L’INTRAPRENARIAT CHEZ AAA
Pour
moi, cette notion possède une place importante, car j’ai eu la chance
de développer l’offre ARGAIN dans des secteurs où l’entreprise n’était
pas.
Je suis arrivé au sein de mon cabinet à un moment où ce dernier cherchait à passer un pallier, et l’équipe dirigeante a su me faire confiance et m’a permis de contribuer à l’évolution du cabinet.
En
effet, sur toutes les casquettes du BM, tu construis des choses. Le
rôle d’intrapreneur, c’est la contribution personnelle sur quelque chose
qui est nouveau : une offre, le développement d’un secteur, la création
de synergies et l’augmentation de la croissance.
- AU FINAL, TON HAPPY AT WORK C’EST QUOI ?
Pour
moi, HAW c’est un résultat et pas un objectif. Le label doit nous aider
à mieux percevoir des salariés les axes de progression de l’entreprise,
afin d’apporter des solutions et d’améliorer la satisfaction des
experts. C’est le résultat de toutes les actions menées, de la politique
de management, et des perspectives d’évolutions au sein de
l’entreprise.
Régulièrement, en entretien, je pose la question suivante au candidat : « A court-terme nous parlons de projets, c’est une bonne chose. Mais dans trois ans, que voulez-vous devenir ? »
Pour
le consultant, ce qui va fortement contribuer à son bien-être au
travail, c’est l’environnement du client chez qui il va intervenir,
ainsi que le management par son Business Manager. Le manager fera la
différence par son écoute, sa disponibilité, la fréquence des suivis des
consultants lors des points projets, ainsi que l’attention portée à la
qualité de vie au travail des consultants.


1. Avoir une vision très claire du métier que l’on fait, de comment on veut le faire et de l’objectif personnel que l’on s’est fixé (ce vers quoi on tend).
2. Être organisé dans toutes les activités du quotidien.
3. Être conscient de ses qualités et de ses axes d’améliorations,
condition nécessaire pour savoir où on doit s’améliorer. La
persévérance c’est important, mais dans le mauvais sens cela en devient
contre-productif.
4. Avoir une personne référente qui soit capable de dire : « Ecoute, c’est important de t’améliorer sur ces différentes choses. »
5. Être efficace et ne pas hésiter à profiter de l’expérience des seniors dans l’écosystème pour demander des conseils.
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